Fiche Laos

26 et 27/03 Vientiane 28/03 Vang Vien 29/03 Vang Vien - Luang Prabang 30/03 au 2/04 Luang Prabang 3/04 Luang Prabang - Luang Nam Ta (bus) 4/04 Luang Nam Ta - Muang Sing 5 et 6/04 Muang Sing 7/04 Muang Sing - Boten - Chine

COUPS DE COEUR - Les minorités de Muang Sing
- L'accueil des laotiens lors d'une cérémonie aux morts
- Les restaurants français de Vientiane
- La baguette française et le vin rouge (après 5 ou 6 mois loin du pays, ça fait du bien)
- Les paysages karstiques de Vang Vieng
- Le coucher de soleil sur le Mékong à Vientiane
- Les massages laotiens
- Le charme provincial de Luang Prabang
- Un très bel artisanat

Beaucoup de voyageurs arrivent au Laos en provenance de Bangkok. C'est peut être la meilleure façon d'apprécier la ville : après l'agitation de la capitale thaïlandaise, on découvre une ville au charme provincial. Les voitures sont rares. Les premiers scooters ne sont apparus qu'en 1994. Dans la rue, quelques passants par ci par là. Mais où sont-ils donc tous passés ? Dans la ville, pas grand chose à voir. Alors, après avoir visité rapidement les 2 ou 3 monuments nationaux d'importance (déserts eux aussi), on prend un verre dans un café au bord du Mékong et attendons tranquillement le coucher de soleil sur le fleuve. Nous passons ensuite la soirée dans un restaurant français de Vientiane, miam le steak au poivre gratin dauphinois et la ratatouille niçoise. Le lendemain, on visite le marché près de la poste centrale où nous envoyons un colis de 11 kg (cette fois, c'est fini, on n'achète plus rien ; nous avons envoyé notre précédent colis 10 jours plus tôt de Bangkok). On achète de beaux tissus en soie laotiens et puis comme il n'y a plus rien à faire, on part pour une autre destination . Ca va être comme ça partout le Laos ? Ben oui, presque.

Venant du Cambodge, on trouve les routes très bonnes.
Venant de Thaïlande, on les trouve plutôt mauvaises.
Les principaux axes routiers sont assez bien entretenus, les autres peuvent être épouvantables.
Une nouvelle flotte de bus et minibus rend les transports au départ de Vientiane assez confortables. Ces bus et minibus ont en partie été offerts par le Japon. Dans les autres parties du pays, on voyage encore le plus souvent en camion. Ce sont des camions à l'arrière desquels les passagers prennent place sur des bancs, à droite et à gauche ou sur des tabourets en osier, entre les bancs. Le transport est assez inconfortable, d'autant plus que l'espace libre entre les passagers est rempli avec des sacs de légumes, de riz, des poulets ou des rouleaux de fil de fer barbelé. C'est cependant un moyen de transport rapide comparé au motoculteur à remorque, que l'on doit utiliser sur les petites routes de campagne. Comme ces engins passent partout et qu'ils sont dépourvus de suspension et de coussins pour les fesses, une concentration maximale est nécessaire pour anticiper les bosses et protéger son coccyx.

Pas grand chose de particulier à signaler. Les hôtels sont propres et bien tenus mêmes si très sommaires. Compter de 25 à 45 FF pour une chambre pour 2. Il y a de très bonnes adresses de charme à Vang Vien, notamment, nous a-t-on dit, des bungalows bucoliques tenus par un français (Les Jardins de Vang Vien, 5$ pour 2). Assez nul à Vientiane.

LA spécialité à ne manquer sous aucun prétexte : le riz gluant. Fabuleux, hyper bon, très économique (ce qu'il y a de moins cher) et facile à transporter. Que des avantages ! C'est une famille de riz spécial que l'on fait longuement cuire à la vapeur puis que l'on sert en accompa- -gnement de légumes sautés ou de viande ou de n'importe quoi puisque ça se mange sans faim. Attention, ça ne se mange pas n'importe comment : c'est bien meilleur avec les mains. Prendre un peu de riz avec les doigts puis bien la malaxer en boulette dans la main avant de la tremper dans de la sauce ou pour attraper des légumes. Le goût est indescriptible, c'est un peu l'impression de manger un gâteau non sucré. Inoubliable. On en trouve dans tous les restaurants, blanc ou noir ou mélangé, et même sur les marchés, vendu dans des sacs en plastique, pratique à emmener lors des longs transports en truck. A part cela, goûter de green curry, sorte de légumes croquants dans une soupe chaude de noix de coco épicée. Un délice.

- Des moines bouddhistes qui travaillent !
- Le riz gluant, c'est excellent
- Des réceptionnistes-standardistes-cardiologues-radiologues
- Des minorités sans casquette Adidas et sans T-shirt Calvin Klein



	*ITINERAIRE* 26 et 27/03 Vientiane 28/03 Vang Vien 29/03 Vang Vien - Luang Prabang 30/03 au 2/04 Luang Prabang 3/04 Luang Prabang - Luang Nam Ta (bus) 4/04 Luang Nam Ta - Muang Sing 5 et 6/04 Muang Sing 7/04 Muang Sing - Boten - Chine *COUPS DE COEUR* - Les minorités de Muang Sing - L'accueil des laotiens lors d'une cérémonie aux morts - Les restaurants français de Vientiane - La baguette française et le vin rouge (après 5 ou 6 mois loin du pays, ça fait du bien) - Les paysages karstiques de Vang Vieng - Le coucher de soleil sur le Mékong à Vientiane - Les massages laotiens - Le charme provincial de Luang Prabang - Un très bel artisanat *1ère IMPRESSION* Beaucoup de voyageurs arrivent au Laos en provenance de Bangkok. C'est peut être la meilleure façon d'apprécier la ville : après l'agitation de la capitale thaïlandaise, on découvre une ville au charme provincial. Les voitures sont rares. Les premiers scooters ne sont apparus qu'en 1994. Dans la rue, quelques passants par ci par là. Mais où sont-ils donc tous passés ? Dans la ville, pas grand chose à voir. Alors, après avoir visité rapidement les 2 ou 3 monuments nationaux d'importance (déserts eux aussi), on prend un verre dans un café au bord du Mékong et attendons tranquillement le coucher de soleil sur le fleuve. Nous passons ensuite la soirée dans un restaurant français de Vientiane, miam le steak au poivre gratin dauphinois et la ratatouille niçoise. Le lendemain, on visite le marché près de la poste centrale où nous envoyons un colis de 11 kg (cette fois, c'est fini, on n'achète plus rien ; nous avons envoyé notre précédent colis 10 jours plus tôt de Bangkok). On achète de beaux tissus en soie laotiens et puis comme il n'y a plus rien à faire, on part pour une autre destination . Ca va être comme ça partout le Laos ? Ben oui, presque. *TRANSPORT* Venant du Cambodge, on trouve les routes très bonnes. Venant de Thaïlande, on les trouve plutôt mauvaises. Les principaux axes routiers sont assez bien entretenus, les autres peuvent être épouvantables. Une nouvelle flotte de bus et minibus rend les transports au départ de Vientiane assez confortables. Ces bus et minibus ont en partie été offerts par le Japon. Dans les autres parties du pays, on voyage encore le plus souvent en camion. Ce sont des camions à l'arrière desquels les passagers prennent place sur des bancs, à droite et à gauche ou sur des tabourets en osier, entre les bancs. Le transport est assez inconfortable, d'autant plus que l'espace libre entre les passagers est rempli avec des sacs de légumes, de riz, des poulets ou des rouleaux de fil de fer barbelé. C'est cependant un moyen de transport rapide comparé au motoculteur à remorque, que l'on doit utiliser sur les petites routes de campagne. Comme ces engins passent partout et qu'ils sont dépourvus de suspension et de coussins pour les fesses, une concentration maximale est nécessaire pour anticiper les bosses et protéger son coccyx. *HEBERGEMENT* Pas grand chose de particulier à signaler. Les hôtels sont propres et bien tenus mêmes si très sommaires. Compter de 25 à 45 FF pour une chambre pour 2. Il y a de très bonnes adresses de charme à Vang Vien, notamment, nous a-t-on dit, des bungalows bucoliques tenus par un français (Les Jardins de Vang Vien, 5$ pour 2). Assez nul à Vientiane. *A TABLE !* LA spécialité à ne manquer sous aucun prétexte : le riz gluant. Fabuleux, hyper bon, très économique (ce qu'il y a de moins cher) et facile à transporter. Que des avantages ! C'est une famille de riz spécial que l'on fait longuement cuire à la vapeur puis que l'on sert en accompa- -gnement de légumes sautés ou de viande ou de n'importe quoi puisque ça se mange sans faim. Attention, ça ne se mange pas n'importe comment : c'est bien meilleur avec les mains. Prendre un peu de riz avec les doigts puis bien la malaxer en boulette dans la main avant de la tremper dans de la sauce ou pour attraper des légumes. Le goût est indescriptible, c'est un peu l'impression de manger un gâteau non sucré. Inoubliable. On en trouve dans tous les restaurants, blanc ou noir ou mélangé, et même sur les marchés, vendu dans des sacs en plastique, pratique à emmener lors des longs transports en truck. A part cela, goûter de green curry, sorte de légumes croquants dans une soupe chaude de noix de coco épicée. Un délice. *ON NE VOIT CA QU'ICI ...* - Des moines bouddhistes qui travaillent ! - Le riz gluant, c'est excellent - Des réceptionnistes-standardistes-cardiologues-radiologues - Des minorités sans casquette Adidas et sans T-shirt Calvin Klein
	Itinéraire \| Carnet de route \| Préparatifs \| Contact Népal \| Inde \| Sri Lanka \| Myanmar \| Thaïlande \| Laos \| Cambodge \| Chine \| Indonésie \|Australie \|Nouvelle Calédonie \| Polynésie française \| Île de Pâques \| Équateur \| Cuba Retour accueil